Mi écrevisse, mi femme.
Ca fait un petit moment, je sais, mais de toute manière, personne ne me lit.
C'est cool de vivre dans le Sud, non sérieusement. Il fait tout le temps beau, enfin presque, et tu peux te la péter en disant à tes copines du "Nord" - C'taprem, j'vais réviser à la plage, eh ouaaais, oneagainbistoufly -
Mais oui quelle bonne idée !
C'est vrai, ca fait très teenagemovie le pique nique sur la plage tout ca. Ne voulant pas faire les choses à moitié par ce temps caniculien, j'avais même acheté la dernière crème solaire garnier, celle qui fait pschiit et qui est transparente (on est bien loins de l'espece de crème bleue atroce que maman infligeait à nos visages enfantins). Au top quoi ! 11 euros 90 pour le bonheur de ma peau. Parce que je le vaux bien. Seulement, la prochaine fois, je songerais à ne pas l'oublier chez moi.
Nous sommes le 7 Avril, et je suis bicolore.
J'aime.
Mercredi soir, j'allais assouvir ma soif de chef d'oeuvre cinématographique avec Bertoch. J'étais plutot réticente vu ma dernière expérience. En effet, quelques semaines plus tot je dépensais 7,80 euros (somme TRES importante pour une étudiante fauchée) pour matter "Au dela" avec enthousiasme, ce dernier retombant des les premières minutes du film. Bref, gros flop de Clint Eastwood.
Cependant, cette fois, ce fut mission accomplie !
Et oui, tout le monde en parle, donc rien d'original la dedans, Black Swan est le petit bijoux de ce début d'année 2011. Je ne cesse de le répeter depuis quelques jours, mais ce putain de film est putain de parfait (pour rester polie). Bien qu'inclassable, chaque infime partie du film est époustouflante et surprenante. Ca faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas autant retourné la boite cranienne. Je recommande plutot deux fois qu'une.
Demain j'accueillerais Louise, pour une semaine chargée de concerts et de Mac Chouffe.
Recalée
Il était genre 9h20 lorsque je suis arrivée au lieu de rendez vous indiqué. Oui, c'est en cette splendide journée ensoleillée (non, je rigole.) que j'ai eu la joie, l'immense plaisir, de passer pour la première fois mon permis de conduire. N'étant, à la base, pas très sereine (du tout) de part mon manque évident de savoir faire, les choses se sont nettement empirées grace aux cris incessants du connard d'examinateur qui se trouvait à ma droite durant cette demi heure de lose. Pour résumer et vous épargner de fastidieux détails, j'ai conduis comme une chèvre bourrée et j'ai raté mon permis (pour sur). Dommage, ma voiture (tunée, évidemment) était prête à écumer les routes à fond les ballons.
Mon retour à Montpellier ce dimanche, s'effectuera en train, une fois de plus.